Après une soirée, un gars ramène sa copine chez elle à 3h du matin
>dans un
>quartier très huppé. Ils sont à la veille de s'embrasser pour se
>dire bonne
>nuit devant la porte d'entrée, lorsque le gars commence à se sentir
>excité.
>D'un air confiant, il se penche légèrement vers elle en souriant,
>une main
>accolée sur le mur (noter la position du gars, très important pour
>la suite
>de l'histoire) !, et lui dit :
>- Chérie, me ferais-tu une pipe ?
>Horrifiée, elle répond :
>-Tu es malade ? Mes parents pourraient nous voir !
>-Oh, alleeez ! Qui va nous voir à cette heure ? demande-t-il d'une
>voix
>haletante.
>-Non, s'il te plaît. Imagines-tu si on se fait prendre ? La fille
>du juge
>local se doit d'être exemplaire !
>-Oooh alleeez ! Il n'y a personne aux alentours, ils dorment tous.
>-P-A-S Q-U-E-S-T-I-O-N. C'est trop risqué !...
>-Oooh s'il te plaît !, s'il te plaiiiiit, je t'aime tellement ?!?
>-Non, non, et non. Je t'aime aussi, mais je ne peux pas !
>- Oh siiiii tu peux ! Tu peeeeeux ! S'il te plaiiiiiiiiit ?
>-Non, non et non. Je ne peux simplement pas.
>- Je t'en suppliiiiiiiiie...
>-Donne-moi une seule bonne raison, dit-elle. Le jeune homme se
>lance alors
>dans une argumentation passionnée de 15 à 20 bonnes minutes sur les
>besoins
>et pulsions masculines, d'une voix de plus en plus rauque.
>Soudain, la lumière dans l'escalier s'allume, et la p'tite soeur de
>la
>jeune fille apparaît en pyjama, les cheveux en bataille, les yeux
>bouffis
>et leur annonce d'une voix endormie :
>-Papa m'a dit de te dire : Soit tu lui fais sa pipe, soit moi je
>lui fais
>sa pipe. En cas de besoin, maman dit qu'elle peut descendre
>elle-même la
>lui faire.
>Mais par pitié, dis à ce con, d'enlever sa main de l'interphone !
alors hein faite gaffe au gaffe :vla l'boulet: